« Les Rencontres nous aident à ouvrir les yeux et à voir différemment ». L’édition 2025 souhaite justement montrer la diversité des cultures, en proposant aux visiteurs une grande ouverture sur le monde. Cette année, le fil rouge sera le Brésil. Contre-voix « On country » nous emmène en Australie, au Brésil avec « Futurs ancestraux », Brandon Gercara et le communauté LGBT et au continent nord-américain avec Caroline Monnet et la communauté indienne. « Histoire de familles » nous entraîne dans la recherche de la figure paternelle de Diana Markosian. « Relectures » nous plonge dans l’univers des grands couturiers avec Yves Saint-Laurent ;
« Le monde de Louis Stettner » est consacré aux images sociales ; Letizia Battaglia nous guide dans le Palerme des années 1970 et Claudia Andujar vers les peuples d’Amazonie. Dans le chapitre Contes d’archives, suivez Agnès Geoffray dans « Elles obliquent » et le rapport à la morale sur le temps long ; « L’éloge de la photographie anonyme » de la Collection Marion et Philippe Jacquier. « La retratistas do Morro » traite de la favela Bello Horizonte et enfin « La guerre de la langouste » toujours en lien avec le Brésil est proposée par les élèves de l’ENSP. « Chroniques nomades » suit le road trip de Bérénice Abbott sur la US Route 1, du Canada à la Floride pour retracer la transformation de l’Amérique, pour Todd Hido, c’est sur un monde en suspens et Kourtney
Roy sur l’idée de la touriste parfaite. Patrick Wack retrace son voyage à Azov, Jean-Michel André son projet Chambre 207 sur l’histoire terrible dans un hôtel d’Avignon ; Raphaëlle Peria sur la traversée du canal du Midi où elle a vécu avec son père. Enfin, pour Laurence Kubski « Sauvages », c’est le rapport homme-animal. « Géométrie variable » traite du courant moderniste de l’architecture brésilienne. Stéphane Couturier nous entraîne vers la Villa E 1027 d’Eileen Gray. Dans « Emergence », Louise Mutrel montre les camions japonais customisés et Jia Yu, son travail sur 20 ans en Chine. Sans oublier la Fondation
Louis Roederer, le Arles Books, le Grand Arles Express et Arles Associé qui viennent enrichir le programme des Rencontres. De David Armstrong à LUMA avec la jeunesse new-yorkaise, Sarah Carp « Sans visage », au musée de la Camargue « Atlas et herbiers », au MDAA « Une architecture couleur du temps » sur l’histoire du musée, au Réattu avec une monographie de « Béatrice Helg » et à la Fondation Manuel Rivera Ortiz « Sortilèges ».
40 expositions pour nous faire découvrir le monde des cultures.
Du 7 juillet au 5 octobre 2025