Catherine Gillet, née en Belgique, vit et travaille à Paris. Elle accroche ses toiles aux cimaises de la galerie de l’Hôtel de Manville du 23 mai au 12 juin.
Formée à l’atelier Sofia Vari-Botero de 1975 à 1990, l’artiste répond à une question souvent posée : Pourquoi peindre ? … « Parce qu’il y a l’envie de le faire et que c’est un mode d’expression qui me convient, silencieux et distancié entre la réalisation et le regard de l’autre.
Ensuite que peindre et comment ? C’est selon la vision, la culture donc les influences, l’énergie et la sensibilité de chaque artiste.
Je suis résolument figurative. On me parle de « précision photographique mais dimension métaphysique », d’une peinture qui « surréalise », peut-être due à mes origines belges ? Je ne prétends ni inventer, ni innover ; je travaille et… j’y mets toute mon âme ! »
Entrée libre.